À propos de nous

Sensibiliser le public

Nous sommes à l’avant-garde de la protection environnementale du Nouveau?Brunswick depuis 1969.

Notre vision

Nous croyons que l’avenir de toute vie dépend de l’équilibre entre l’activité humaine et les limites écologiques.

Notre mission

Notre mission consiste à diffuser de l’information sur les problèmes environnementaux et à promouvoir des solutions par la recherche, l’éducation et l’intervention en collaboration avec des tiers.

Pour ce faire, nous nous employons, notamment, à communiquer les initiatives de politique environnementale au public général et aux décideurs et incitons les décideurs gouvernementaux à mettre en œuvre les politiques nécessaires à la protection de notre air, de notre eau et de notre terre. 

Priorité stratégique : Le changement climatique, parce qu’il menace fortement la capacité de prospérité des Néo-Brunswickois ainsi que la salubrité de notre air, de notre eau et de notre terre et la santé de notre faune.

 

Notre mandat

Par l’éducation, entre autres moyens, l’objectif et le mandat du Conseil de conservation sont:

  • d’acquérir et de diffuser des connaissances concernant la pollution de l’environnement naturel;
  • d’éclairer l’opinion du public sur les dangers de la pollution de l’environnement naturel;
  • de tenter de prévenir la pollution à venir de l’environnement;
  • de tenter de rectifier les méfaits de la pollution;
  • d’utiliser le mieux possible nos ressources renouvelables et non renouvelables pour que les générations actuelles et futures puissent continuer à vivre sur cette terre en profitant des fruits de leur travail.

Notre histoire

C’est le géologue Kenneth Langmaid qui, lors de l’assemblée générale annuelle de janvier 1969 de l’Institut d’agrologie du Nouveau-Brunswick, a proposé pour la première fois l’idée de créer une organisation environnementale provinciale au Nouveau-Brunswick. A l’aide d’une subvention de 50 dollars de l’Institut, Kenneth s’est entouré d’un groupe de scientifiques, d’écrivains et de journalistes pour fonder le Conseil de conservation du Nouveau-Brunswick neuf mois plus tard, le 18 octobre 1969. Il fut alors nommé président fondateur du CCNB. Les directeurs par intérim étaient à l’origine Robert Strang, Gerald Shaw et Austin Squires.

En 1979, le Conseil de conservation a embauché sa première directrice générale, Dana Silk. Janice Harvey lui a succédé en 1983. Puis, en 1985, David Coon s’est joint à Janice à titre de directeur des politiques. Cinq ans plus tard, en 1990, l’organisation a tellement grandi qu’elle s’est subdivisée en programmes, à commencer par le programme de conservation marine. Le programme de l’agriculture durable et celui de la santé environnementale se sont ajoutés au milieu des années 90. Ces derniers furent ensuite suivis par la mise en place du programme de conservation des forêts, d’Action climat, de Vigilance Santé et, plus récemment, des programmes Achetez local, Protection de l’eau douce et Tous dehors pour apprendre.

La première réunion annuelle générale du Conseil de conservation du Nouveau-Brunswick a eu lieu le 17 octobre 1969. De gauche à droite : G.G. Shaw, trésorier; R.M. Strang, secrétaire; K.K. Langmaid, président; Austin Squires, deuxième vice-président et David Walker, premier vice-président.

Après deux ans de rénovation, la Maison de la conservation est inaugurée en 1981. De gauche à droite : Elbridge Wilkins, maire; l’hon. Fernande Dube, administratrice des finances; la sénatrice, Muriel McQueen Fergusson; Dana Silk, directrice exécutive; Lucy Dyer, présidente du Conseil de conservation.

Reunion of the Conservation Council’s founding members. From left to right: Dr. Lucy Dyer, Dr. John Anderson, David Christie, Tim Dilworth, Margaret Taylor, Frank Withers, James Pataki, Harold Hatheway, Mary Majka.

Après 33 ans de service, David Coon a quitté le Conseil de conservation du Nouveau-Brunswick pour se consacrer à d’autres passions personnelles. Céline Delacroix a rejoint notre équipe et dirige notre organisation à l’une des époques les plus difficiles pour les organisations environnementales du Canada. Mais elle est prête à relever le défi!

Membre du Club global 500 de l’ONU, le Conseil de conservation s’emploie à trouver des solutions pratiques afin d’aider les familles, les citoyens, les pédagogues, les gouvernements et les entreprises à protéger l’air que nous respirons et l’eau que nous buvons ainsi que l’écosystème marin, si précieux pour notre survie, et la terre, dont les forêts, sur laquelle repose notre existence même. Comme nous dépendons de nos membres, nous disposons de l’indépendance et de l’autonomie nécessaires pour défendre avec crédibilité et efficacité notre environnement et nos collectivités.

La propreté de l’air, de l’eau et de la terre vous tient à cœur?

Faites partie de la solution!

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